Chers amis, azul et Asegwas Amegaz.
Suite à ma contribution "Algérie, fin de partie" dont le lien est le suivant Algérie, fin de partie,(11635 lectures en ce moment même) article qui a été remplacé aujourd'hui par la rédaction du journal par une caricature représentant un individu en béquilles, l'une représentant le drapeau amazigh et l'autre le drapeau algérien, voici ce que diffuse un ancien contributeur du site sur les réseaux sociaux.
Ce sieur, soutien de Benbitour à la présidence algérienne, se plaisait quand il inondait le site cité par ses longues dissertations apologétiques en faveur de son candidat avant de se rétracter, trouve scandaleux que les colonnes du site soit ouvertes à une opinion différente, notamment celles des autonomistes (ou indépendantistes) kabyles!
Je ne m'étalerai pas dessus si ce n'est le fait d’être conforté en lisant ce message qui m'est parvenu en MP (privé). Je suis conforté dans l'idée que même "l'élite" arabophone algérienne reste allergique à toute opinion ou idée nouvelle qui vient de la Kabylie. Ces soit disant défenseurs de la liberté d'expression sont prêts à accepter toutes les idéologies y compris les plus meurtrières à condition qu'elles n'émanent pas de la Kabylie. décidément, le pouvoir algérien n'est pas le seul ennemi et frein à la Kabylie, ses "intellects" organiques sont de la partie. Je rappelle, juste pour l'histoire, que lorsque Monsieur Benchicou croupissait dans le "geôles d'Alger", la Kabylie s'est mobilisée en masse pour sa liberté, comme elle s'est toujours mobilisée pour la liberté d'expression et pour la démocratie en Algérie, au moments où ses confrères de la presse algérienne et ces scribouillards de pacotille se sont terrés dans un silence assourdissant et complice.
Je tiens personnellement à remercier lematindz pour sa haute considération pour la Kabylie, son engagement en faveur des idées progressistes et de la liberté d'expression, la vraie. Je tiens particulièrement à rendre hommage au staff rédactionnel du Journal Le Matin Dz , ainsi qu'à son directeur Mohamed Benchicou.
Décidemment, l'Algérie, c'est la fin de la partie !